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n'octambulite chro'nique
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n'octambulite chro'nique

VIP-Blog de gecko
  • 38 articles publiés dans cette catégorie
  • 27 commentaires postés
  • 1 visiteur aujourd'hui
  • Créé le : 30/07/2006 11:22
    Modifié : 19/11/2008 03:36

    Fille (21 ans)
    Origine : 44
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    Mourir, c'est dur ? Mhh.. comparer a la vie.. la mort est un nectar dont beaucoup abusent..

    23/12/2006 17:46

    Mourir, c'est dur ? Mhh.. comparer a la vie.. la mort est un nectar dont beaucoup abusent..


    Soupirs
    fermer les yeux
    laisser les nerfs se relacher..
    soupirs..
    sommeil qu'on peine a trouver.
    la nuit creuse l'inconscient a la recherche des nevroses enfouies.
    remuer, s'agiter..
    tout faire pour expulser ce qui gronde en moi.
    trouver des mots pour expliquer et des resolutions auxquelles se tenir.

    trop de coups.
    assommée a peine relevée.
    j'ai l'impression d'enchainer les combats.
    que le dernier combat est suivi du premier combat qui lui meme se repete..
    le souffle court
    reprendre haleine
    les faire taire. me faire taire.
    Donner des coups de poings dans le vide.
    pleurer et laisser sa poitrine tressauter.
    laisser le temps au temps pour pouvoir affronter.

    Il ne sert plus a rien de consolider le mur que j'errigeais.
    il est pleins de fissures et l'eau commence a s'inflitrer.
    le vent s'engouffre parmis les trous béants que les éboulements ont laissés
    c'est desertique et glacial.
    c'est plus errintant que de s'assoire et de regarder l'univers qui m'entoure s'écrouler.
    assister a la fin d'une ere.
    Tout quitter. accepter de tout quitter. le vouloir vraiment.
    Savoir resister.
    Savoir hurler un non.
    Savoir frapper.
    pour enfin maitriser son corps. son putain de misérable corps.
    celui la meme qui influe sur ce qu'on n'est pas.

    Volonté de m'ecraser au sol et de regarder la vie passer
    Volonté de me relever, juste pour regler mes comptes.
    Si un jour, je me venge..
    oui.. si un jour je me venge..
    je m'amuserais a faire aussi mal que vous.

    Rien que toi, rien que moi
    Faits de fièvre et d’envie
    Dans la suie on se noie
    Assoiffés d’interdits ;
    Rien que toi rien que moi
    Au sein de l’incendie
    Je t’invite au combat et toi,
    Tu me dis oui,
    Allez viens…

    Gecko.
    un brin deplumé le lezard a ce qu'il parait.








    [?]

    09/12/2006 04:00

    [?]


    Medecin incompétent

    Gelules qui refusent de me filer le sommeil au coin des yeux
    les placebos sont d'un effet notoire

    Dose de 25mg
    effet a partir de 50mg
    peut etre qu'en doublant la dose, j'obtiendrais quelque chose d'utile
    a-t-il cru que je mentais.. suffisemment stupide pour me creer des insomnies
    simplement constaté.. que j'allais pas bien..
    decrété que nous devrions parlé..

    Lui, le médecin de famille
    Qui me fait peur quand nous sommes tous les deux dans son cabinet
    Celui qui veut connaitre le germe de mes peurs

    toujours est-il que je ne dors pas.. que je le deteste de m'avoir destabilisée si facilement tout a l'heure
    tout ca pour ca...
    rester eveillée...

    Comment est-il possible qu'un seul homme connaisse toute ma vie ?
    simplement avec la promesse d'un cacheton qui fait dormir...

    Dépendance aux solutions

    Gecko
    impatiente d'attendre, de nouveau






    plongeon dans le somnambulisme d'une lezard

    08/11/2006 15:41

    plongeon dans le somnambulisme d'une lezard


    l'impression de ne plus être soi meme.
    l'ombre de ce que j'ai été.
    la fatigue à fait place a l'absence.
    5 jours à picoler.

    a peine manger.
    a peine dormi

    souffrance du corps en silence.
    capacités intellectuelles reduite a la respiration.

    toutes sortes d'alcools ingurgités.
    découverte de l'absynthe.
    vénération de la biere et du vin.

    apologie de la deboite.
    du mal de crane. de la gerbe.

    vengeance de mon estomac.
    besoin, envie de manger.
    placards vides. pas pensé a faire les courses.
    pas eu le temps, la motivation...
    fromage rapé, ananas au sirop.. tout ce qui semble comestible fait l'affaire.

    se faire exploser le ventre, a defaut du crane..

    qui lui n'a toujours pas atteris.
    tout pour se prouver qu'on est toujours en vie.

    Meme plus envie de dormir.
    pousser l'extreme limite de chaque frontiere.

    envie d'aller courir a en hurler de douleurs
    de manger a en vomir
    de dormir jusqu'a ne plus vivre qu'en reve
    de boire a tout en oublier
    de m'abrutir de musique jusqu'a la surdité complete.
    de laisser le froid grignoter mes 37°

    Envie de le decevoir aussi.
    de lui donner envie de fuir. d'oublier a son tour tout ca.
    afin que ce ne soit pas a moi de fuir.

    > fin de mon livre

    course d'endurance et douche tiede.
    retrouver un semblant de quietude et m'endormir.

    il est plus de 5h..
    je somnole plus que je dors.

    plus de reveil possible. suite de trams, de bouffées de chaleurs, surement relatives aux reves.
    milieu d'apres midi, mon esprit reprend une activité pratiquement normale.
    je pense aux cours que j'ai loupé
    aux obligations non respectées.<

    _____________________________________________________________________

    8 novembre

    chose faite.
    je pense etre parvenu a cet exercice peu fin
    consistant a le degouter de ce que je suis.
    parfait

    il m'a donner envie de vomir toute la soirée
    rire obscene et voix engourdie
    anecdotes aussi ravissante que le viol d'une oie par un chien
    attente d'une chose
    fin de seance.
    fin du film
    "au revoir"

    besoin de parler a quelqu'un. avec qui je suis bien.

    la liste est rapidement faite.

    il n'est pas en face de la fnac ni derriere le gaumont.
    il s'est de nouveau amusé a disparaitre.
    _ estomaquée de voir a quel point le revoir m'a émue.
    "un grand con perdue parmis la foule"
    censé avoir disparu au fin fond du jura.

    reapparition. toujours mal en point mais tellement lui.
    il n'a pas perdu en fragilité.

    tentative de mémorisation. c'était Lui.
    tentative de vaines retrouvailles._

    comme personne ne repond a mon besoin de repere.
    tout le monde semble occupé a se rechauffer loin de la pesanteur du froid.

    je rentre, avec la sombre impression de flouer quelqu'un

    je prefere le regarder tourner les talons. le voir s'éloigner lourdement,

    serein de s'être éloigné de moi. mais avec une incomprehension devant ma froideur.
    il faudrait tellement d'explications. tellement s'ouvrir. tellement justifier l'injustifiable.

    qu'il est preferable de le laisser partir.
    pour nous deux.

    tellement de choses a assimiler.
    beaucoup de souvenirs qui ressurgissent.
    quelques remords hypocrites aussi.
    pas de place pour du nouveau.

    comment faire comprendre au present que le passé est encore la ?
    quels mots utiliser pour lui permettre de realiser que je suis une fille a probleme ?

    il veut trouver des points communs.
    "moi aussi, j'ai pas dormi de la nuit"

    n'y a-t-il pas une difference entre comater devant des films et tourner en rond pendant 5h ;
    se parler a soi meme, debattre avec soi meme comme s'il s'agissait d'une personne tierse ?
    trop simple de le faire vivre.
    trop facile de lui plaire.
    ennui profond.
    ennui = reflexion
    insomnie.
    enculé.
    sans le vouloir, tu me pousses a reflechir.

    demain j'irais en cours.
    il est trop tard pour me coucher.
    il est trop tard pour terminer mon travail _ pour le commencer

    c'est l'heure du doute, de la remise en question, de l'acharnement a l'autodestruction.
    demain j'irais voir un psy.
    haha, jele dis depuis si longtemps que je doute de ma capacité a franchir le pas.
    trouille du resultat.
    trouille d'ouvrir les vannes.

    de trop parler, de trop en dire.
    de toutes ces choses enfouies qui ne sortent naturellement que lorsque je ne suis plus moi meme.
    allez vous faire foutre avec votre morale et vos codes absurdes.
    demain j'irais a poil a la fac tien!

    histoire d'être en hypothermie suffisemment rapidement pour ne pas voir la fin de la journée.

    fausse manipulation
    une partie du texte effacée.
    malheureux, une suite de mots, de phrases, de paragraphes sans sens qui ont a jamais disparus.

    incapacité a trouver une fin a cet article.
    je perds le sens de mes mots a chaque relecture.
    j'en viens a douter.
    ont-ils eu un sens un jour ?
    la sensation de prendre plaisir a me noyer dans mon quotidien.

    a me voir deperir au milieu de ces nuits

    a cause de cette toux
    de cette nausée intellectuelle

    - retourner a mon nouveau livre -
    - misery -
    - non, ce n'est pas rombeaut, "annie est fortement charpentée" -
    - t'as perdu, t'es mort Pierre-Yves -
    - Game over -

    > Sommeil artificiel <







    Et patatra le schtroumpf frisson entre en action

    28/10/2006 06:06

    Et patatra le schtroumpf frisson entre en action


    j'ai l'impression d'un viol a chaque regard que l'on pose sur moi.
    je trouve abject le fait que l'on puisse me regarder.
    je ne suis ni quelqu'un que l'on ecoute, ni quelqu'un que l'on observe. simplement quelqu'un.
    les quelques etre humains s'étant frottés a moi et ayant remis en cause la transparence sexuée à laquelle j'aspire, ont effrayé celle qui est en moi.
    je pense dailleurs, avoir rapidement pu les dissuader que j'étais une fille.
    les seuls instants ou je prends un pied malsain à plaire se reduisent aux moments ou je suis haineuse et que je veux jouer avec des vies..
    ou que je suis completement raide. et que, donc, je ne controle plus que l'art de s'auto-détester..
    je ne comprends pas ces filles qui font de leur quotidien une chasse aux regards lourds de sens, aux sifflements, et aux compliments sordides de quelques hommes suffisemment abrutis pour s'interesser a ces belles salopes.
    etant donné que le seul contact avec des gens que je ne connais ni d'eve ni d'adam.. ou des que le geste tactile n'est pas de ma propre volonté.
    autrement dit, quand ce n'est pas moi qui esquisse le mouvement.
    ce mouvement est vecu comme un coup de poignards sans douleurs.. mais horriblement génant.
    ces salopards de premiere, alcoolisés au maximum et squattant les trams ne se reduisent alors qu'a un amas de cellules a peu pres vivante qu'un bon coup de savates permettrait de remettre dans le bon chemin.
    un violent coup de pied serait un plus, pour leur apprendre la politesse et le respect de l'espace des gens.

    et tout simplement pour leur apprendre les conséquences qu'engendre un abrutis franchissant la barriere de ma bulle protectrice.
    les pires étant ceux qui se permettent le reproche de n'avoir une expression ahurie de jovialité.
    et cela, par pur égoisme. probablement parce que cela deregle leur horloge interne de la naiveté.
    que ca sonne faux dans un bar de ne pas sourire..
    qu'on empiete sur la gaieté de leur soirée quand une perdue a la table d'a coté n'a pas envie de rire a leur histoires salaces et severement ponctuées de fautes,
    de flash d'appareils photos
    et de vieux relants d'alcool.

    "tu pourrais plaire"


    mais qui a dit que mon bien etre se trouve dans le regards de ces gens avides de reconnaissances et d'amour ?
    la seule reponse possible a leur regard insistant est une fusillade.
     un long regard glacial. pleins de belles promesses

    de sadisme,
    de souffrance et
    de morts lentes et douloureuses

    envers leurs corps et leur âme si parfaits, si laiteux, si merdique en somme _ qu'ils en sont gerbant.
    si bien qu'ils en sont honteux de m'avoir observé..
    observé pendant que je pleurais, que je riais, que je vivais..

    le prochain qui s'attarde sur la représentation physique que je possede...

    Gecko troublée, énervée, sadique, errintée.
    et Gwen.. c'uis qui skate sur la photo..






    Couac !

    23/10/2006 18:39

    Couac !


    Sbam!

    atterrissage forcé.
    l'train d'atterrissage n'a pas du sortir
    jolie crash
    apparemment, j'suis en vie.
    un peu secouée tout de meme

    j'cherche la boite noire.
    j'pourrais peut etre porter plainte contre la compagnie.
    empocher des dommages et interets.. devenir riche.

    l'appat du gain.
    ptete que c moi qui ai saboter l'avion,
    qu'ai drogué le pilote
    qu'ai placé un engin explosif dans la soute
    l'appat du gain.

    Mouais
    Gecko - lost - becomes a duck -
    c'est l'brouillard dans ma tite tete... alors j'me venge..
    j'pratique l'art du n'importe quoi.
    j'ferais mieux d'lire Braudel et Durkheim..
    histoire de lire du n'importe quoi structuré.

    Plus !
    vais aller me noyer sous la pluie.
    si j'men sors.
    j'reviendrais..






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