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n'octambulite chro'nique
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n'octambulite chro'nique

VIP-Blog de gecko
  • 38 articles publiés dans cette catégorie
  • 27 commentaires postés
  • 1 visiteur aujourd'hui
  • Créé le : 30/07/2006 11:22
    Modifié : 19/11/2008 03:36

    Fille (21 ans)
    Origine : 44
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    c'est l'histoire du feu le plus long a passer.. (comme le jour du meme nom)

    22/04/2007 12:23

    c'est l'histoire du feu le plus long a passer.. (comme le jour du meme nom)


    Feu Vert -
    1ère Vitesse -
    Regard à droite -
    Carrefour franchi -

    SCOOTER
    BOUM!

    IIiiiim - freins -
    S'bAm par terre -
    Biiip #|@^\#} de #|[@\\ !

    C'est moi !
    Craque
    Constat.
    Fausse adresse -
    Alcool -
    Enculé de Flics -

    Soirée HS.
    Gecko. Lessivée.








    putain de moi...moi la ....

    21/04/2007 04:00

    putain de moi...moi la ....


    J’aurais essayé.
    Que personne ne vienne me dire le contraire.
    J’suis pas prête. C’est tout.
    J’espère l’être un jour. Suffit de trouver un bon.
    Je me perd dans tout ce que j’entreprends.
    Je noircit tout ce que j’apprécie.
    A croire que je n’ai pas les règles du jeu de l’amour.
    Au fond, c’est vrai.
    J’suis une vieille novice.
    On ne m’a pas appris à croire en un futur à deux.
    Les défaites enseignent plus que les combats glorieux.
    Soit. Mais que cela entraîne une peur de l’engagement.
    Je ne vois pas ou est le bien.
    Besoin viscéral de tout foutre en l’air.
    De multiples tentatives qui échouent les unes après les autres.
    Je ne comprends pas le bonheur du couple.
    Trop d’aspirations vont à l’encontre de l’unisson.
    Le désir ardent des rencontres.
    La soif de - se faire - manipuler.
    Sans vouloir user l’autre. Celui qui ignore tout. Qui est loin. Celui qui est serein.
    L’assujettissement via la liberté absolue . Seule. Seul.
    Deux espaces qui se croisent.
    Sans lendemains.
    Le plaisir de quitter. De s’être fait abîmé son estime.
    La douleur innocente. Celle qui se propage tout sourire au travers du visage.
    Et se termine en creusant une plaie interne dans le cerveau.
    Je cours après hier. Et j’attrape le lendemain.
    J’ai peur de ce trajet la. Le futur à deux. Fuite en avant.
    Croire en cet amour irréprochable, immaculé de sentiments larmoyant de bonheur.
    Croire en ces deux corps qui s’unissent pour oublier leur passé.
    Pour construire un demain qui dure toujours.
    Incompréhension.
    La fin du monde arrivera. Celle de leurs tendres débuts aussi.
    La rupture résonne comme l’extrême onction de leur relation.
    Que l’on m’explique ce qu’est l’amour. Il parait que je ne le connaîs pas.
    Que l’on ose me dire qu’il est beau, bon pour nous et synonyme de béatitude encéphalique.
    Je ne crois pas en l’amour. Je ne crois pas en l’égalité dans le couple. Je ne crois pas en la sérénité d’être deux.
    Pas en cet amour là.
    C’est plus une ébauche qui ne se termine pas. Un dessin à terminer selon ses envies. Au creux de sa nuit. Ca ne se vit pas un amour. L’être humain pourrit ledit sentiment. Il est incapable de l’éprouver sainement s’il le pousse à prendre vie.
    Personne ne peut être le gardien de quelqu’un.
    Son soutient, sa puissance, son exutoire, sa destination autant que sa fuite…
    Que l’on m’explique.
    Je ne demande qu’à y croire.
    Une vie ou l’individualisme et la méchanceté crottée rôdent autour du troupeau d’humains que nous sommes…
    Ne se risquerait pas à aimer.
     
    Je crois en la solidarité. Pas en l’amour.
    J’ignore pourquoi.
    Qu’une vie peut se construire sans amour. Pas en solitaire.





    A ouai ? y'en a des biiiiiennnns...

    01/04/2007 00:43

    A ouai ? y'en a des biiiiiennnns...


    Pourquoi pas moi ?
    hein ?
    Merde, Zut,
    abréviations des sens. des mots.
    toujours aller au plus simple. même si ce chemin parait bien plus compliqué.

    de toute manière,
    que chacun aille au diable
    je vais me taire.
    le silence dans ma bouche.
    plus aucune consonnance débile a ce propos n'effleurera mes cordes vocales avec ce souffle si lourd.
    promis.
    tout le monde m'écoutera de nouveau. peut etre.

    plus qu'à trouver des choses à dire qui interesse les gens.
    comme ici.
    fuyez tous.
    ne prenez pas la peine de vous aventurer comme je le fais dans cette mulitudes de pages noircies au beurre de cacahuètes.
    y'a pas de sens. y'en a jamais eu.
    et j'ai pas envie d'avoir la mort cérébrale de quelques crétins, venus s'perdre ici, sur la conscience.
    a bon entendeur, cassez vous.
    TOUS et TOUTE.

    voyeurisme absent ?
    affrontons la réalité.
    rien en nous n'est épargné par la pourriture qui grignote nos chairs.
    alors... courrez sous la douche et laissez moi à mes reves.
    Na.

    et puis fuck.
    ce doigt vous accompagnera jusque sous l'eau vivifiante.
    après, il laissera faire la nature.
    la noyade peut etre inconsciente ?








    IIiiiiim-scratch !

    20/03/2007 15:23

    IIiiiiim-scratch !


    La soif d’échapper à tout ça.
    Traumatisée par les évènements.
    Que chacun sorte de l’ombre et affiche fièrement son état.
    On a passé l’âge de jouer à cache-cache.
    Qui veut quoi ? Qui veut qui ?
    Personne ne veut rien. Mais tout le monde se tait.
    Assumer ?
    Et puis, au fond, On s’en fout.
    La vie n’est faite que de demains.
    Et demain, je ne pourrais pas assumer. Pas ce rêve la.
     
    Difficulté à lire. Finir ce texte.
    « Tableaux de familles »
    Il rappelle la réalité. Les cas sociaux qui collent à la peau.
    L’état de déchet dans lequel je retrouve cette famille.
    Même plus envie de vomir quand je pense à eux.
    Même plus de colère quand je parle avec eux.
    Ils se sont retirés, loin de toutes obligations.
    Pas même une once de volonté. Un abandon total de son sang.
    Ouvrir les veines de ses enfants pour ne plus les voir.
    Incapacité à ouvrir les yeux.
    Le quotidien camouflé dans le mensonge.
    La perte d’un être plein de vie. Immoler ses espérances dans l’alcool.
    Indolence parentale.
    Ainsi est apparu l’enfant sauvage des quartiers.
    Farouche en paroles, lest dans la fuite, sans repères.
     
    Un gamin meurt, un adulte sans empreinte voit le jour.
    Responsabilité à temps partiel.
    Assumer. Assumer. Assumer.
    Quand on a dix ans, on comprend. On agit
    Quand on à vingt ans, on abjure les siens. Pourtant on agit encore
    Porter le fardeau d’une vie ratée.
    Plombée pendant l’envol. Crash d’un souffle heureux.
    L’immaturité ne se mesure pas dans une discussion autour d’une pizza.
     
    La capacité à affronter.
    Il devrait enseigner ça.
    L’hardiesse.
     
    Voila ce qui manque au monde. À tout le monde.
     
    Gecko.
    Mal de crâne. Sans douleurs. Vie dans un brouillard.





    Un 1er mars qui résonne comme un avril

    11/03/2007 05:16

    Un 1er mars qui résonne comme un avril


    « Pourquoi pas celui la ?
    Parce qu’il est propre, il est soigné, il transpire la stabilité, il a la vie organisée.
    Une souillon ne lui inspirerait pas le regard. »

    C’est l’heure des comptes.
    On se rend à l’évidence.
    Les minutes ne nous sont pas comptées mais .. Si quand même.
    Chaque matin résonne comme un bilan.

    Où suis-je ?
    J’ai beau regardé autour de moi, je ne vois rien clocher.
    Aucun ding ou dong ne vient troubler le quotidien.
    Je devrais probablement regarder à l’intérieur. Ouvrir la fermeture éclair de mon corps et observer ce que je
    vois.
    C’est peut être là qu’est le problème.

    C’est l’heure d’imprimer les photos.
    Les souvenirs remontent. D’autres restent planqués. Faute de preuves.
    Alors on chasse les bribes de nos mémoires pour les voir transpirer de tactilité.
    Prouf !
    Disparues, ces fameuses chaînes.
    Comme un bond en avant, le vide réapparaît.
    Une page blanche.
    Sans entête. Sans prologue.
    Un nouveau roman dans l’ancien, ce n’est plus un nouveau chapitre., comme avant.

    Ça fait six mois.
    Six mois passés.
    J’ai l’impression de compter les mois comme un détenu compte les jours.
    Pourtant, ce n’est pas le cas.
    Ma vie est simplement faite de bilans récurrents.
    Et la,

    Je me rends compte que j’ai toujours mes amis. Mes vieux amis.
    Et que de nouveaux sont venus se greffer.
    Que la peur du train et de cette distance était vaine.
    Le plaisir de partager ne se distille pas avec les kilomètres.

    Que l’idéologie conceptuelle ressemble à une vieille tache que l’on ne parvient pas à enlever.
    Mais qu’au fur et à mesure des lavages..
    On parvient à la rendre moins voyante. Du moins s’acharne-t-on à le penser.

    Qu’un neuf mètre carré peut contenir une foule de souvenirs.
    Un maximum de sensations.
    De regrets aussi peut être. Pas sur.
    Qu’on s’habitue à tout. Même au silence.
    Alors, même si l’on en vient à se parler à voix haute :
    « Parler tout haut et tout seul, cela fait l’effet d’un dialogue avec le dieu qu’on a en soi. » (Victor Hugo)

    Une pizza,
    Quelques bières,
    Une poignée de cacahuètes,
    Des amis autour,
    Et quand bien même on se croirait à Cachan.
    On a le sourire.
    Parce qu’on n’a pas ce que l’on voulait.
    Et que c’est un prétexte pour continuer vers l’avenir.
    Afin de l’obtenir.






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